6 samouraïs 4

Publié le par xavier Ishbal

Le premier ouvrit des yeux ronds comme des billes pendant qu’Ushiro cherchait du regard un moyen de libérer la jeune fille.
« T-t-t-t’es qui ? j’suis Akira, moi ! l-l-l-le boss t ‘entends ? »
« Ferme là ou tu finis comme l’autre ! Dis moi plutôt comment je la détâche ! »
Akira prit un temps de réflexion. Au bout d’une dizaine de secondes,(et avec un effort herculéen) il se souvenu du fait que les trois mecs au bout du mur étaient avec lui.
« Wow ! Les mecs y en a un qu’as pas compris un truc avec les Akira ! ‘Pouvez lui expliquer ? »
« On va te péter ta gueule pour ce que t’as fait à Momo tarlouze ! » Dit le premier en courant vers Ushiro une batte de base-ball en main.
« Ouais on va te faire payer connard ! »
S’engagea alors une discussion (très) construite ;
« Ouais toute façon Akira il est seul ce fils de p*** de c** de sa mère la c****** ! »
« sbâtard de m**** mérite de crever ! »
« Sa tête elle va décoller en l’air dans l’air quand jvais le frapper »
avec un vocabulaire (très) varié ;
« Ouais je vais le niquer ! »
« Ouais trop ! »
« Nan mais trop quoi ! »
Pendant cette passionnante conversation, Ushiro eu le temps de ;
Détacher la jeune fille.
La poser sur le guidon de sa trot(abréviation de trottinette).
Et enfin de patiner jusqu’à la sortie du lycée.
« Ouais il a trop flippé quand je l’ai regardé le mec t’as vu ou pas ? » Dit Akira…
Ushiro, peut être juste à cause de ses hormones mais aussi à cause du fait qu’elle était magnifique, profita du fait que la jeune fille était collée à lui pour la dévorer des yeux.
« Quand tu auras fini de te rincer l’oeil, tu me préviendras, n’est-ce pas ? » Dit-elle
« Mais non ! Pas du tout ! c’est que je pense que tu dois avoir froid comme ça non ? » Essaya-t-il de donner en guise d’excuse.
« Eh puis d’abord je viens de te sauver, tu pourrais au moins me donner ton nom ? »
« Ine » Répondit-elle au bout de quelques longues secondes durant lesquelles Ushiro prenait les routes les plus désertes possible pour que personne ne la voie en sous-vêtements.
« Est-ce que je peux t’emmener chez moi pour te donner des fringues, Ine ? »
« Oui, si tu veux. Tu peux aussi arrêter d’éviter que l’on me voie, puisque de toute façon personne ne me voit, à part toi. »
« Impossible ! et ceux qui t’ont mis dans cet état dans ce cas là ? »
« faisaient partie du test. » Dit-elle calmement.
« Quel test ? »
« Le test pour être sur que c’était toi le sixième, bien sûr ! »
« Le quoi ? »
« Le sixième. Pendant l’appel tu étais tellement stressé que j’ai dù m’empêcher de rire ! »
« c’était toi au téléphone ? »
« Oui, et j’ai remarqué que tu étais extrêmement facilement manipulable, Irou. »
« C’est quoi ce nom bordel ? »
« Tss, tss. Je te le dirai à la maison, mon prince… » Dit-elle en lui caressant la joue, Ce qui le fit devenir rouge pivoine.

Publié dans roman

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